L’espace du numérique avec la visioconférence, nous a permis de traverser cette période COVID tant bien que mal et cela continue… Pour autant, pouvons-nous encore traiter nos clients/patients d’une manière optimale alors que la visio est entrée dans nos pratiques ?
Lire la suiteDepuis le début des années 2000, beaucoup d’études et différentes approches ont permis d’avancer sur la connaissance du trauma et ses répercussions sur le stress, et plus globalement sur la santé physique et psychologique. Cela a permis en creux de reconnaître l’importance de l’impact de l’environnement dans le développement de l’individu.
Lire la suiteQue vous soyez psychiatre, psychologue, psychothérapeute ou encore psychopraticien, il est important que vous preniez soin de votre « être thérapeute » !
Lire la suiteAu cours de cette crise multiple (sanitaire, sociale, économique) NGI a fait le choix d’assurer les formations en cours et les groupes de supervisions didactiques en visioconférence, afin de maintenir le contact avec les professionnels, très sollicités pendant cette période.
Notre enseignement et notre pédagogie est structuré dans la rigueur du Centre d’Intégration Gestaltiste (CIG) de Montréal. C’est au CIG, que l’approche de la Psychothérapie Gestaltiste des Relations d’Objet (PGRO) est née, appelée aussi psychothérapie du lien. Gilles Delisle, son fondateur, a reçu le prix Noël Mailloux en 2010 par l’Ordre des Psychologues du Québec.
Après Jaak Panksepp et Allan Schore, voici Peter Fonagy pour évoquer la question de la Mentalisation et ainsi clore cette série d’articles dédiés aux neurosciences affectives !
Après avoir écrit un article en décembre 2018, intitulé « Les neurosciences », qui permettait de retracer mon intégration des neurosciences affectives en passant par la Psychothérapie du Lien, jusqu’à la création de NGI. Je vais vous proposer une série d’articles sur trois auteurs que nous intégrons dans notre enseignement : Panksepp, Schore et Fonagy. D’autres sont encore à l’étude comme Siegel et Porges par exemple.
Quel est votre posture face à cette question ? Êtes-vous dans une approche centrée sur le déficit ou sur le conflit… ? Avec la promotion II, qui a démarrée fin septembre, nous avons posé les bases de la Psychothérapie du Lien, il a été question de différencier une approche basée sur le déficit et d’une basée sur le conflit.
Habituellement, je ne proposais pas d’article pendant la période estivale. Cette année, j’ai décidé de décaler la publication de juin en juillet pour écrire sur les systèmes de soutien que j’appelle « points d’appui » pour le thérapeute. Vous pourrez donc commencer à travailler vos points d’appui pendant vos vacances et qui sait continuer à pratiquer à partir de la rentrée…
Tout d’abord, je vous remercie pour vos retours et vos partages sur l’article du mois dernier qui reprenait les différentes alliances du processus thérapeutique ! Aujourd’hui, j’aimerais revenir sur le Diagnostic Structural (DS), il permet la prise de notes dans le suivi thérapeutique et donne un regard sur l’évolution du client.
Après avoir abordé les différents espaces de la thérapie dans l’article du mois de mars «Qu’est-ce que la psychothérapie ?», je vous propose ce mois-ci un éclairage sur les différentes alliances à respecter dans le processus thérapeutique.
Cet article s’adresse aux personnes qui souhaiteraient entrer dans une démarche psychothérapeutique, ainsi qu’aux professionnels de l’accompagnement en devenir. C’est également l’occasion pour les professionnels déjà en activité de revoir certains fondamentaux de la psychothérapie.
Après mon intervention à la conférence de la Société Française de Psychanalyse Intégrative autour du thème « Éprouver et penser le lien », je vais vous retracer une partie de mon parcours et comment je suis arrivé aux recherches sur les neurosciences affectives en passant par la psychothérapie du Lien pour fonder Neuro Gestalt Institut. Il sera temps dans les prochains mois de vous parler d’un certain nombre d’auteur.
Lire la suite« Éprouver et penser le lien » voici la thématique abordée lors du 4ème colloque de la SFPI (Société Française de Psychanalyse Intégrative), qui a eu lieu à Paris le 24 novembre 2018, où le directeur de NGI (Cyrille Bertrand) est intervenu sur son parcours et son expertise en PGRO, notamment en neurosciences affectives.