Journée organisée en partenariat avec l’AFPBN, le Congrès français de psychiatrie et la Fondation Fondamental : « neurosciences psychiatrie neurologie ». Reporté aux 01 et 02 juillet 2021 à Paris.
Après Jaak Panksepp et Allan Schore, voici Peter Fonagy pour évoquer la question de la Mentalisation et ainsi clore cette série d’articles dédiés aux neurosciences affectives !
Lors du précédent article, je vous ai parlé des systèmes motivationnels de Jaak Panksepp, père des neurosciences affectives. Aujourd’hui, je vais revenir sur une partie des travaux de Schore concernant la question de la régulation affective.
Après avoir écrit un article en décembre 2018, intitulé « Les neurosciences », qui permettait de retracer mon intégration des neurosciences affectives en passant par la Psychothérapie du Lien, jusqu’à la création de NGI. Je vais vous proposer une série d’articles sur trois auteurs que nous intégrons dans notre enseignement : Panksepp, Schore et Fonagy. D’autres sont encore à l’étude comme Siegel et Porges par exemple.
Quel est votre posture face à cette question ? Êtes-vous dans une approche centrée sur le déficit ou sur le conflit… ? Avec la promotion II, qui a démarrée fin septembre, nous avons posé les bases de la Psychothérapie du Lien, il a été question de différencier une approche basée sur le déficit et d’une basée sur le conflit.
Colloque sur l’empathie dans la communication et la relation avec l’enfant et entre adultes, organisé par Zo&ki et Acadeven pour les professionnels de la petite enfance. Le 24 juin 2019 à Paris.
Après mon intervention à la conférence de la Société Française de Psychanalyse Intégrative autour du thème « Éprouver et penser le lien », je vais vous retracer une partie de mon parcours et comment je suis arrivé aux recherches sur les neurosciences affectives en passant par la psychothérapie du Lien pour fonder Neuro Gestalt Institut. Il sera temps dans les prochains mois de vous parler d’un certain nombre d’auteur.
Lire la suite« Éprouver et penser le lien » voici la thématique abordée lors du 4ème colloque de la SFPI (Société Française de Psychanalyse Intégrative), qui a eu lieu à Paris le 24 novembre 2018, où le directeur de NGI (Cyrille Bertrand) est intervenu sur son parcours et son expertise en PGRO, notamment en neurosciences affectives.
Nous voici sur le point d’aborder le 3ème et dernier enjeu du développement psycho-affectif : l’Éros/Ethos, mais auparavant j’aimerais redonner une perspective personnelle de l’approche de ces enjeux.
Voilà, c’est la reprise des articles en cette rentrée 2018 ! Comme nous l’avions vu dans l’article précédent, dans « le développement psycho-affectif », nous avons besoin d’être régulé dans notre enjeu d’attachement ; il en est de même dans l’enjeu de l’Estime de soi, sous peine de créer un « vide intérieur » comme expérience de soi.
Nous pourrions résumer rapidement cette question de l’attachement à l’alliance thérapeutique qui se crée et se met en place progressivement entre le client et son thérapeute. Et que cette alliance faite, la question de l’attachement est réglée…
Dans le dernier article qui venait clore le concept des 3 R (Reproduction, Reconnaissance, Réparation), j’ai évoqué en conclusion 3 compétences (Réflexive, Interactive et Affective) à propos desquelles je vais revenir dans cet article.
Nous arrivons à notre 3ème et dernier article sur les 3R : la Réparation ! Mais que réparons nous ? Et de quoi parlons-nous ? À la fin de l’article sur la Reconnaissance, je terminais en évoquant l’importance de penser son client et donc le « panser » dans ses expériences complexes.
Après avoir abordé la question de la Reproduction, nous allons maintenant découvrir la « Reconnaissance ». Certains concepts seront mis entre parenthèses en référence aux articles précédents (« Les 3R : 1/3« , et « Qu’est-ce que la PGRO ? « ), afin d’améliorer le lien et une meilleure intégration.
Cette interview a été réalisée lors du symposium « La révolution du cerveau », organisé par l’association Coordonnance, les 22 et 23 septembre 2017. Le propos de la conférence portait sur « l’apport des neurosciences affectives dans la posture des soignants », un sujet au cœur des préoccupations de Neuro Gestalt Institut. Lire la suite